This is a battle I think that we can't win.
C'est une bataille que nous ne pourrons pas gagner.
Capitaine Panaka à Amidala (Episode I)
Le Capitaine Panaka était le chef de la Sécurité Royale de Naboo avant, pendant et après l'invasion de la planète par la Fédération du Commerce. Il deviendra Moff pendant la période impériale et supervisera le Secteur Chommell pendant la guerre civile galactique.
Pour les Naboo tournés vers l'art et la culture, profondément pacifistes, ce militaire et militariste convaincu était un électron libre qui détonnait dans le mode de pensée Naboo dénué de tout penchant militariste. Pourtant cet homme taciturne fut un des plus fidèles et zélés serviteurs de la royauté Naboo. Il n'était pas agressif. Il disait seulement qu'une armée était nécessaire pour protéger Naboo et sa culture.
Panaka naquit sur Naboo, 62 ans avant la bataille de Yavin dans une famille modeste de Theed. Très tôt, son père l'inscrivit dans des associations de jeunesse afin que l'enfant ait une éducation stricte mais tournée vers les autres. Soucieux de son éducation, son père lui enseigna également toutes sortes de techniques de combat au corps-à-corps, telles qu'il les avait apprises de son propre père. Il développa chez le jeune Panaka un tempérament relativement autoritaire et dirigiste. Il envisageait déjà de faire entrer son fils dans la prestigieuse garde du Palais de Theed. Pour lui qui n'avait jamais pu prétendre à cette distinction, y voir son fils était l'accomplissement de sa vie.
Le père de Ryu-Er lui enseigna également des valeurs comme le courage et le sens de l'honneur et plaça pour son fils, le service de la famille royale au-dessus de tout.
Adolescent, le jeune Panaka rejoignit les Forces d'Intervention Républicaines pour y effectuer son service civil obligatoire. Il acquit de l'expérience en combattant et en démantelant les organisations pirates qui venaient des systèmes voisins. Il combattit notamment sur Bestine, Yag'Dhul ou Malastare. Il y gagna en maturité et en sens tactique. Il y apprit comment agir face à tous les types de situation de combat. Il y rencontra surtout celui qui allait devenir un de ses rares amis, le pilote Ric Olié.
Panaka revint précipitamment sur Naboo quand il apprit la mort accidentelle de sa sœur dans un incendie. Mais il était prêt pour postuler au poste envié par son père.
Il intégra la Garde Royale et fut affecté au service du Roi Veruna. Marqué par la mort de sa sœur, Panaka s'investit totalement dans son travail, au mépris de sa vie personnelle. Son expertise tactique, son adresse au tir et sa capacité à commander lui permirent de grimper rapidement les échelons au sein des Forces de Sécurité. Il devint lieutenant sous les ordres du Capitaine Magneta, qui servait le roi depuis 13 ans.
Panaka était réputé pour être un homme intègre et soucieux de son devoir. Mais il était aussi connu pour son caractère fermé, taciturne et peu loquace. Il ne plaisantait jamais avec les autres hommes, restait seul dans son coin pendant les gardes. Il n'était pas sociable. Quand il parlait, son discours était expéditif et il ne s'embarrassait pas de détails.
Peu avant l'élection de la Reine Amidala, Panaka avait été appelé pour examiner les restes d'un sando échoué sur une plage. En déplaçant le cadavre, Panaka découvrit un conduit qui menait à une cache souterraine contenant des niches fermées. Il les fit ouvrir pour y trouver des corps en décomposition. Il avertit aussitôt le Capitaine Magneta qui lui dit de retourner au Palais afin de prendre du matériel d'investigation.
Quand il revint, Magneta avait fait sauter la cave. Il effaçait ainsi toutes traces d'affaires affaires douteuses où le Roi Veruna était impliqué. Ce dernier n'hésitait pas à nouer des alliances illicites pour imposer à la planète un programme de développement technologique et économique qui rompait avec les traditions ancestrales. Il n'hésitait surtout pas à faire disparaître ses opposants.
Peu après, un scandale éclatait au Palais. Le Roi était accusé de corruption et de détournement de fonds. Il dut abdiquer et fut assassiné quelques jours après dans son manoir privé. Sa mort passa pour accidentelle mais on découvrit qu'il avait été assassiné, sans pouvoir dire par qui. Magneta fut révoqué pour avoir failli à son devoir de protection et Panaka devint Chef des Gardes du Palais. Il fut affecté au service de la jeune Reine Amidala nouvellement élue.
Panaka eut beaucoup de mal à se faire à sa nouvelle fonction. Déjà il pensait qu'il était responsable de la mort du Roi Veruna et il n'aimait pas trop le fait de protéger une femme. Avait-il un côté misogyne ? Si oui, il le laissa de côté et décida, après quelques jours de doutes, de s'investir encore plus dans sa mission et se jura que rien n'arriverait à la Reine qu'il était chargé de protéger.
Il dut déjà faire face à l'opposition d'une poignée de gardes fidèles à Magneta, qui refusaient son autorité. Il reprit la situation en main et veilla à ce que les forces de sécurité restent organisées et concentrées. Son dévouement sans faille et ses actions lui valurent des éloges et confirmèrent son titre de Chef des Gardes de la Reine. Il avait prouvé sa profonde loyauté à la Maison Royale de Naboo.
Panaka demanda au Conseil Consultatif Naboo des fonds plus importants afin de recruter plus d'hommes et d'avoir du matériel plus sophistiqué. Fidèle à son idéal pacifiste et à sa décision de non-militarisation, le Conseil refusa et lui dit de faire avec ce qu'il avait à sa disposition. Panaka tenta bien de démontrer le bien-fondé de sa demande et mit le Conseil en face de ses responsabilités en cas de guerre mais ce dernier ne céda pas. Panaka dut donc obtempérer.
Il décida donc de réformer l'organisation des Forces de sécurité en scindant ses hommes. Il créa ainsi le Corps des Gardes du Palais, des hommes surentraînés affectés à la sécurité de la Reine et les Gardes de Sécurité qui assuraient les missions de routine et de police de la ville. Il améliora l'escadron de chasse qui regroupait les meilleurs pilotes de la planète. Il les plaça sous le commandement d'un homme de confiance, son ami Ric Olié.
Contrairement à son prédécesseur, la Reine Amidala écoutait ses conseillers. Elle approuva la nouvelle organisation des Gardes et les plans de Panaka pour sa protection, des plans qu'elle jugeait très audacieux. Avec son aval, il entreprit de former un groupe de jeunes filles qui deviendraient des gardes du corps tout en gardant des tâches de dames de compagnie. Elles seraient toutes choisies pour leur excellente condition physique, leur ressemblance avec la Souveraine et leur loyauté absolue envers la maison royale. Il avait déjà une idée en tête. Remplacer la Reine par une de ses suivantes pendant ses déplacements, la souveraine devenant alors une simple suivante du nom de Padmé Naberrie. La Reine serait ainsi sauve en cas d'éventuel attentat.
Il choisit six jeunes filles parmi une centaine de concurrentes (Rabé, Eirtaé, Sabé, Saché, Yané et Dané). Il les entraîna durement à toutes les techniques de combat et de maniement d'armes. Il avait d'ailleurs adapté le pistolet Naboo S-1 pour en faire l'arme privilégiée de ses gardes et des suivantes de la Reine.
Quand. 32 ans avant la bataille de Yavin, la Fédération du Commerce instaura un blocus autour de Naboo et envahit la planète pour protester contre la taxation des routes commerciales, il s'avéra que les prédictions de Panaka étaient justes. Naboo était en guerre et les forces royales pourtant bien entraînées mais sous-équipées ne firent pas le poids face aux droïdes de combat, suréquipés et surtout remplaçables à volonté. Le Vice-Roi de la Fédération du Commerce, Nute Gunray et son second, Rune Haako investirent le palais après avoir fait arrêter tous ses occupants dont la Reine, sa suite et le Conseil Consultatif Naboo. Panaka se tenait derrière la souveraine quand le groupe fut conduit, sous bonne garde, dans un camp de rétention auquel il n'arriva jamais.
Heureusement, Panaka avait eu le temps de mettre son plan de leurre en place. Sabé, la suivante qui ressemblait le plus à la Reine portait les vêtements de la souveraine qui elle, avait revêtu la robe simple de Padmé. Lors du transfert, le groupe fut arrêté par deux hommes vêtus de bure qui mirent les droïdes qui l'escortait hors d'état de nuire. C'était les deux Jedi qui devaient arbitrer les négociations entre les Naboo et la Fédération du Commerce, à la demande du Chancelier Valorum.
Le Maitre Jedi Qui-Gon Jinn réussit à convaincre la Reine (en fait Sabé) de se rendre à Coruscant pour intervenir devant le Sénat et expliquer le problème Naboo. Elle accepta de le suivre avec trois de ses dames de compagnie, dont Padmé Naberrie. Lors du forçage du blocus instauré autour de la planète, le vaisseau royal essuya des tirs et dut se poser sur Tatooine, une planète proche, pour changer l'hyperdrive qui était endommagé. Le Capitaine Panaka n'était pas d'accord pour que la Nef Royale se pose sur Tatooine, un repaire de bandits aux mains des Hutts et il le fit savoir vertement à Qui-Gon Jinn.
Ce fut le premier de ses nombreux accrochages avec le Jedi qui lui fit comprendre sans ménagement que cette solution était la moins pire de toutes celles qui pouvaient être envisagées.
Panaka fut vexé d'être contredit et surtout de voir que la Reine prenait le parti du Jedi contre son propre avis, ce qui le désavouait.
Son sens du devoir prit cependant le dessus et il obtempéra.
Dès le départ, Panaka trouvait le Jedi trop sûr de lui et il désapprouvait l'influence qu'il avait, selon lui, sur la Reine. Quelque part, Qui-Gon Jinn lui volait son rôle de protecteur et pour le Naboo autoritaire qu'il était, c'était une façon de lui montrer sa faiblesse. Il n'aimait pas que son statut soit remis en cause par les Jedi comme il le dira plus tard lors d'un entretien qu'il aura avec un reporter de la " Tribune Galactique " : Le plus difficile fut de préserver la Reine des actions parfois hasardeuses des Chevaliers Jedi… Par exemple, une fois le blocus forcé, ils ont décidé de mettre le cap sur une petite planète aride de la Bordure Extérieure contrôlée par les Hutts ! Il n'a pas été facile de s'entendre et je me suis souvent retrouvé en profond désaccord avec Qui-Gon Jinn que je trouvais trop téméraire… Même si je n'approuvais pas les actes des Jedi, je suis forcé d'admettre, avec le recul, que l'Histoire leur a donné raison.
En fait, il n'en était rien. Qui-Gon Jinn assurait seulement le rôle qui était le sien auprès d'une délégation qu'il était chargé de protéger et l'interprétation de Panaka n'était que le reflet de l'influence de son propre parcours personnel. Si Panaka était en froid avec Qui-Gon Jinn, bien qu'il reconnut ses mérites, il était beaucoup plus ouvert et loquace avec le padawan du Jedi, le jeune Obi-Wan Kenobi, beaucoup plus souple et surtout plus orthodoxe que son mentor. On peut même avancer une certaine similitude de caractère entre les deux hommes, Obi-Wan étant prudent et très respectueux des cadres établis, contrairement à son maitre beaucoup plus téméraire en ce domaine.
Pendant les quelques jours où Panaka et Obi-Wan Kenobi étaient restés à bord de la Nef Royale sur Tatooine, le chef des gardes avait appris à connaître et à apprécier le jeune Jedi.
Panaka accompagna la Reine sur Coruscant et était derrière elle dans la nacelle de Naboo lors de la séance du Sénat où elle plaida la cause de sa planète et obtint, sur les conseils du Sénateur Palpatine, un vote de défiance à l'encontre du Chancelier Valorum. Il soupira de soulagement en apprenant à Amidala le nom des postulants pour le poste de Chancelier Suprême après la dépose de Valorum. Palpatine était pressenti pour la succession. Palpatine, pour lui, représentait l'archétype du politicien intègre dont la République avait besoin.
Panaka était encore aux côtés de la Reine quand elle décida, contre l'avis de Palpatine, de repartir sur Naboo pour bouter la Fédération du Commerce hors de la planète. Panaka était aussi avec elle quand elle se rendit dans le sanctuaire Naboo implorer l'aide de Boss Nass, le chef des Gungan, pour lutter contre les droïdes des Némoïdiens. La Reine se montra humble, ce qui étonna Boss Nass pour qui les fiers Naboo avaient " plus grosses cervelles que Gungan ". Finalement, le Gungan accepta d'unir ses forces à la cinquantaine d'hommes que Panaka avait pu contacter sur une fréquence non brouillée. Les Jedi, la Reine et les dirigeants Gungan mirent au point un plan destiné à vaincre les droïdes et à capturer les chefs némoïdiens.
Panaka était avec la Reine, ses suivantes et les deux Jedi quand, suivant le plan de bataille mis au point avec les Gungan, ils investirent le palais et le hangar d'envol. Les pilotes s'envolèrent à bord de leurs chasseurs pour attaquer le vaisseau de contrôle droïde pendant que les Naboo entraient dans le palais et que les deux Jedi affrontaient le Sith Dark Maul qui avait été envoyé par son maitre, Dark Sidious, pour tuer le petit groupe. De leur côté, les Gungan maintenaient courageusement le gros des droïdes loin de Theed. Lors de l'assaut du palais, Panaka suivait la Reine comme son ombre. C'est lui qui dirigea la manœuvre qui conduisit son groupe à la salle du Trône et qui donna à Amidala le feu vert pour utiliser le leurre afin de confondre le Vice-Roi.
Le plan marcha à merveille. Panaka et la Reine arrêtèrent Gunray et son adjoint. Le vaisseau de contrôle droïde était détruit par Anakin Skywalker à bord d'un chasseur Naboo et les Gungan gagnèrent la bataille des Plaines. Naboo était libre.
Toujours aux côtés de la Reine, Panaka assista aux funérailles du Maitre Jedi Qui-Gon Jinn tué pendant la libération de la planète et il était debout près du Chancelier Palpatine lors de la parade de la Victoire qui vit une alliance mémorable scellée entre la Reine Amidala et Boss Nass. Avant la cérémonie, Panaka avait conduit les Némoïdiens prisonniers au transport qui allait les emmener sur Coruscant afin qu'ils y soient jugés. Il fit remarqué à un Gunray dépité et larmoyant, qu'il " pouvait dire adieu à sa franchise commerciale ".
Quand la Reine Amidala arriva au bout de son mandat, Panaka se mit tout naturellement au service de la Reine Jamilia, qui lui succéda. Il continua d'agir auprès d'elle comme il le faisait avec Amidala, comme il le confia à la Tribune Galactique : Avec le Sergent Diff et le Major Olié nous sélectionnons et formons les nouveaux engagés…
Par contre, fidèle à sa rigueur et à son sens extrême du devoir, il s'assura de la sécurité de Amidala devenue Sénatrice de Naboo en remplacement du Sénateur Palpatine, en nommant près d'elle son propre neveu, Gregar Typho. Ce dernier ne manqua pas de rapporter à son oncle les moindres faits et gestes de la Sénatrice.
Panaka apprit ainsi le mariage secret entre Amidala et le jeune Jedi Anakin Skywalker. Toujours par souci de l'ordre, il avertit aussitôt Palpatine.
Sans le savoir, il fournit à Palpatine des éléments qui allaient favoriser la chute de Anakin Skywalker dans le Côté Obscur. Si Panaka ne prit pas directement part à la genèse de l'Empire, il en fut, par ses choix hasardeux, l'un des artisans.
Peu avant le début de la guerre des Clones, Panaka approuva et fit appliquer les directives de Jamilia d'ouvrir les spatioports de Rori, Naboo et Ohma d'Hun aux réfugiés qui craignaient la montée en puissance de la Confédération des Systèmes Indépendants ou qui fuyaient leur planète qui l'avait rejointe. Pourtant, il sous-estima le danger que celle-ci représentait car elle était, selon ses propres mots : - Même si plusieurs milliers de systèmes l'ont d'ores et déjà rejointe, cela ne représente qu'une partie infime des mondes habités de notre Galaxie. De plus, si la situation s'amplifie, le Sénat sera obligé de réagir et de proposer des mesures efficaces pour stopper ce phénomène… mais nous sommes heureusement loin de cette situation.
Dès le début de la Guerre des Clones, Panaka se rapprocha de Palpatine. Il avait uniquement en tête la sécurité de Padmé-Amidala et rapportait à Palpatine les moindres faits et gestes de la sénatrice qui lui étaient confiés par Typho.
En remerciement de ses bons et loyaux services, Palpatine, une fois devenu Empereur, nomma Panaka Moff du Secteur Chommell. Reconnaissant, Panaka lui offrit une immense statue le représentant. Palpatine la fit installer à bord de l'Etoile Noire.
Certaines sources attestent que Panaka servit fidèlement Palpatine au nom de sa propre rigueur, sans se soucier en apparence des atrocités commises par le régime.
D'autres disent qu'il aurait été tué peu après l'arrivée au pouvoir de l'Empereur.
Sa personnalité
Le chemin suivi par Panaka était en accord avec sa personnalité. Homme pessimiste et sombre qui ne souriait jamais, il s'attendait toujours au pire et n'avait qu'un mot en tête : l'ordre. Durant la crise Naboo, il déplorait de ne pas avoir d'armée digne de ce nom. Il était aussi en conflit avec le protecteur Jedi de Padmé-Amidala qui n'avait pas une vision de l'ordre aussi rigoureuse que la sienne. On pourrait parler d'une forme d'anti-Jediisme mais Panaka était plus réfractaire à la conception de la sécurité prônée par les Jedi qu'à leur personnalité.
Il était souvent de mauvaise humeur et grincheux surtout quand les choses ne se passaient pas comme il voulait. Il était assez obtus et avait des schémas de fonctionnement auxquels il ne dérogeait jamais. Il avait besoin d'un but clairement fixé et n'acceptait pas le hasard. Il inculqua d'ailleurs sa propre vision des choses à son neveu Typho ainsi que son profond sens du devoir.
Il n'acceptait aucune contestation à ses ordres. Par contre, il était consciencieux à l'extrême. Il avait donné sa vie pour son travail et pour la cour de Naboo. Il était constamment en alerte et ses hommes l'avaient surnommé l "'œil le plus vif de Naboo ". Il était également très juste et n'hésitait pas à récompenser ses hommes comme il le fit après la victoire naboo sur la Fédération du Commerce.
Comme une grande partie des Naboo, Panaka se méfiait des Gungan qu'il méprisait. Il désapprouvait le fait que Qui-Gon Jinn ait incorporé Jar Jar Binks à leur groupe. Quand la Reine proposa une alliance à Boss Nass, Panaka était persuadé qu'elle courait à l'échec. Il montra son esprit critique et surtout défaitiste quand les Jedi, les Naboo et les Gungan mirent au point le plan d'attaque du palais lors de ce qui allait devenir la seconde bataille de Naboo. Il ronchonna en disant qu'ils ne gagneraient pas. Il dut reconnaître son erreur en voyant le courage des Gungan face aux droïdes de la Fédération du Commerce.
C'est certainement cet humanocentrisme qui le fit nommer Moff par Palpatine, un poste que Panaka estimait justement mérité, sans aller plus loin que le titre et le statut qu'il lui conférait.
Sources :
-Vent de Trahison (James Luceno)
-Star Wars Episode I - La Menace Fantôme (Terry Brooks)
-Star Wars Episode I - Queen Amidala's Journal (Jude Watson)
-Battle for Naboo (jeu)
-Jedi Power Battles (jeu)
-Star Wars Galactic Battlegrounds (jeu)
-Secrets of Naboo (RPG)
-New Essential Guide to Characters)
-Star Wars Complete Dictionary