Les Jeunes Apprentis Jedi Tome 11

Par Jude Watson
Pocket Junior
Titre original: Deadly'Hunter

L’histoire:
Qui-Gon Jinn et son padawan Obi-Wan Kenobi rentrent de mission. Mais avant de retourner au Temple Jedi, Qui-Gon décide d’aller rendre visite à un vieil ami, Didi Oddo, un restaurateur dont l’établissement se situe près du Sénat. Didi renseigne souvent les Jedi en échange de leur protection. Et quand le maître et son padawan arrivent, c’est pour apprendre qu’il a des ennuis. Une chasseuse de prime armée d’un fouet laser en a après lui, sans aucune raison apparente.
Il est vrai que les activités de Didi ont toujours flirté avec la légalité. Mais elles n’ont été au point de mériter un tel contrat. Qui-Gon décide alors de faire son enquête. Et comme à son habitude, Obi-Wan rechigne. Cette enquête les mène dans un motel de seconde zone, où ils espèrent pouvoir discuter avec la mystérieuse chasseuse. Mais en matière de dialogue, la Sorrusienne semble plus encline à faire parler son fouet laser. Au fils des indices, Qui-Gon et Obi-Wan seront ensuite amenés à rencontrer un autre indicateur du cercle de familier de Didi, Fligh, qui sera retrouvé assassiné peu de temps après sa rencontre avec les Jedi. Ils rencontreront aussi la sénatrice de la planète Belasco, Uta S’Orn, dont le fils sensible à la Force est devenu vagabond et dont le corps a été découvert assassiné quelques mois plus tôt dans les mêmes circonstances que Fligh. Il se trouve que la sénatrice était sur le point d’annoncer sa démission, juste après qu’elle ai fait voter une loi contre le recel de pièce volé, visant là directement les Tech Raiders, à qui Fligh devait énormément d’argent. Il se trouve aussi que ce même Fligh a volé l’écran de données de la sénatrice, non sans s’etre trompé auparavant en volant celui de l’amie de la sénatrice, la scientifique spécialiste en transgénie, Jenna Zan Arbor. Tout semble lié, d’autant que Arbor décide d’organiser un diner de gala dans le café de Didi, dont la fille Astri veut améliorer la clientèle.
Mais pourquoi en vouloir à ce point à Didi ? Si l’écran de donnée de la sénatrice contenait sa lettre de démission, cela n’explique pas qu’on ai pu lancer un tel contrat sur la tête de ce brave homme. Celui de Jenna Zan Arbor en revanche pourrait bien être le cœur de cette intrigue. Et quand Qui-Gon et Obi-Wan s’en rende compte, la chasseuse de prime avait encore pris une longueur d’avance sur eux. Et lorsque pour la quatrième fois, elle affronte les Jedi, si Obi-Wan arrive à la blesser, Qui-Gon lui, se fait prendre au piège à bord du vaisseau de la Sorrusienne qui s’échappe une nouvelle fois.

La critique de Maître Lusiana:
Ma critique sera très brève, ça évitera de dire trop de choses désagréables. Obi-Wan et Qui-Gon ont été transformé par madame Watson en détectives. Je peux vous dire que ce n’est pas Columbo ni Sherlock Holmes, nos deux Jedi, niveau intuition. C’est quand même un comble pour des gens dont la Force est la principale alliée, et qui sont justement réputés pour leur intuition hors paire. De plus, ils rencontrent la mystérieuse chasseuse de prime à 4 reprises. Tous deux armés d’un sabre laser n’arrivent pas à arrêter la Sorrusienne. A deux Jedi, ils n’arrivent pas à la neutraliser. Obi-Wan arrivera quand même à terrasser un Maul autrement plus fort que cette aventurière. C’est à se demander si Madame Watson a vraiment compris qui sont les Jedi. Je lui suggère de prendre rendez-vous d’urgence avec Matthew Stover. Il faut vraiment qu’elle prenne quelque leçon d’UE cette pauvre dame. Elle nous fait de Qui-Gon et Obi-Wan deux détectives de bas étages, complètement empotés, incapable de voir quand on leur raconte des salades ou quand on leur cache des choses. Quant à prévoir un accident provoqué par un pseudo employé de parking ou se rendre compte qu’on les observe, c’est bien au-dessus du niveau qu’elle donne à un maître Jedi. Encore une fois, madame Watson, vous êtes pitoyable. Prenez donc votre souris, et venez donc sur le net pour lire les fanfics. Ce ne sont pas des professionnels de l’écriture, et pourtant vous n’avez même pas leur niveau. Mais vous n’êtes pas la seule en cause. Vos traducteurs ne valent pas mieux que votre imagination étriquée. Quand on voit qu’ils ne savent pas que deadly’hunter, c’est un tueur à gage, et qu’un chasseur de prime c’est un bounty hunter, il ne faut pas s’étonner que cette collection s’enfonce de plus en plus dans le n’importe quoi.
Même pas à lire.