A l’ombre du chêne
A l’ombre de ce chêne immortel
Combien d’amours éternels
Se sont déclarés ?
A l’ombre de ces branches chatoyantes
Combien de douces amantes
Ont-elles succombées ?
Ah doux protecteur des amants
De leurs promesses le garants
Par ces cœurs en guise de serment
Qu’ils déposent sur ton corps, amoureusement
A l’ombre du chêne intemporel
Encore et toujours les ailes
De Cupidon s’agitent.
A l’ombre de ses blanches luxuriantes
A jamais le chérubin enchante
Les couples qui s’y abritent