Dans une galaxie lointaine, très lointaine
Une galaxie qui n’échappe pas à la haine
Vivent des gens qui tentent d'être unis
Pour un seul respect celui de la vie
Mais dans les turpitudes de l'existence
Où se mêlent vacarme et silence
Errent des êtres sans innocence
Où chez eux ne règne que l'inconscience
Aux chants sinistres de l’intolérance
Je ne puis continuer à rester de marbre
Peu importe, je prendrais les armes
Et me battrais sans relâche pour la tolérance
Qu'on me pardonne mon bras vengeur
Ainsi que mes nombreuses erreurs
Faisant fi des élans de mon cœur
Je ne veux point être vu comme un sauveur
Mais si la mort me surprend hors de mon heure
Se moquant de bouleverser l'ordre de la vie
Je lui sourirai sans peur
Et la piégerai aussi.