Adaptabilité :
(adj. : adaptatif, ve). Capacité pour un animal ou une plante de s’adapter à de nouveaux milieux ou à de nouvelles situations.
C’est adapté de la théorie de Darwin sur la sélection naturelle qui dit qu’une variation héréditaire peut, dans une situation donnée, conférer à ses porteurs un avantage, améliorant sa survie (donc c’est la survie du plus apte, du mieux adapté au milieu) et/ou en augmentant le nombre de ses descendants, remplaçant ainsi peu à peu les autres lignées différentes et non porteuses de la variation.
Classe :
Importante subdivision du règne animal (et plus précisément d’un embranchement du règne animal). Chaque classe est ensuite elle-même divisée en différents ordres, classifiant encore plus précisément les animaux. Exemples de classes : mammifères, reptiles, oiseaux, amphibiens, etc.
Ecosystème :
Système formé par le biotope (le milieu) et la biocénose (l’ensemble des espèces animales et végétales qui le composent, y vivent, s’y nourrissent et s’y reproduisent).
Endémisme :
(adj. : endémique). Caractère de la faune et de la flore qui ne se trouve que dans une zone géographique donnée, et ce, de façon naturelle et originelle donc pas de façon importée. Par exemple, c’est le cas des Tauns-Tauns qui ne vivent que sur Hoth de façon naturelle.
Espèce :
Groupe d’individus identiques capables de se reproduire entre eux dans la nature. Mais il est parfois délicat de classifier un groupe ainsi.
Ethologie :
Science qui étudie le comportement des animaux, dans leur milieu naturel mais aussi dans des conditions particulières en laboratoire, permettant de contrôler divers paramètres pouvant influer sur le comportement et facilitant ainsi leur étude.
Grégarisme :
(adj. : grégaire). Caractère d’une espèce qui vit en groupes, en troupeaux mais sans véritable structure sociale. Cette vie en communauté persiste d’ailleurs en dehors des périodes de reproduction, ce qui est significatif.
Mammifères :
Vertébrés qui nourrissent leurs petits avec le lait produit par les glandes mammaires des femelles, d’où leur nom. Les petits sont déjà formés à la naissance (à l’inverse des oiseaux). Ils peuplent de nombreux écosystèmes de la galaxie car leur température interne reste constante et n’est pas donc affectée par le milieu extérieur. Ils sont également très adaptables physiologiquement ou éthologiquement parlant.
Ongulés :
Mammifères dont les doigts sont terminés par des sabots. On parle aussi d’onguligrades, littéralement, « qui marche sur des sabots ».
Ovipare :
Qui se reproduit en pondant des œufs. Le développement des œufs se fait après la ponte, hors du corps de la mère.
Ovovivipare :
Qui se reproduit avec des œufs qui éclosent tout de suite après la ponte. Dans ce cas, à l’inverse des ovipares, les œufs se développent à l’intérieur du corps de la mère qui va ainsi pondre donc des petits quasiment déjà formés mais dans des œufs.
Phéromone :
Substance chimique, émise par un animal, et qui a un effet sur ses congénères. C’est une substance volatile, se répandant dans l’air et qui agit sur d’autres animaux, même si ceux-ci sont éloignés. Par exemple, ce sont les phéromones, qui, notamment, sont émises lors des parades de reproduction, et qui contribuent en partie à la formation des couples.
Reptiles :
Vertébrés ovipares ou ovovivipares (cf. définition), à la peau écailleuse plus ou moins épaisse. Leur organisme est dit à « sang froid » car il ne produit pas de chaleur interne, ce qui les rend dépendants, à l’inverse des mammifères, des conditions extérieures.
Vivipare :
Qui se reproduit en donnant naissance à des petits vivants et déjà formés. C’est en particulier le cas des Mammifères.
Zoologie :
Science qui étudie les animaux du point de vue morphologique, anatomique, systématique (c’est-à-dire classifier les espèces), histologique (les tissus), embryologique, etc. Certaines branches se spécialisent dans l’étude d’un groupe particulier, par exemple l’ornithologie étudie les différentes espèces d’oiseaux de la galaxie ou encore l’herpétologie, qui étudie, elle, les reptiles.