Il y a bien longtemps, dans le jardin Bleu du Temple Jedi de Coruscant étaient quatre Jedi amoureux, Kiara, Lusiana, Mace et Qui-gon.
Lusiana et Mace s’aimaient d’amour tendre mais le comte Dooku ne voulait qu’ils se marient. Dooku avait choisi Qui-gon pour Lusiana. Ce dernier réclamait son dû bien qu’il ait, avant la proposition du comte, charmé Kiara, qui depuis ne le lâcha pas d’une semelle.
Devant le refus du patriarche Jedi, Mace et Lusiana décidèrent de s’enfuir à la nuit tombée, loin du temple pour s’aimer en toute tranquillité du coté de la bordure extérieur. Lusiana fit part de son projet à Kiara, sa sœur, de qui elle était très proche. Mais Kiara se dit qu’il y avait un coup à jouer et croyant marquer des points auprès de Qui-gon, elle lui dit tout. L’aimant bafoué se précipita donc dans le jardin à la recherche des fugitifs, toujours Kiara à ses basques.
Yoda se promenant assista à la recherche de Qui-gon et aux lamentations désespérées de Kiara, donnant ceci :
Qui-Gon : Je ne t’aime pas ne me poursuit donc pas. Où est Mace, où est ma belle Lusiana ? Je tuerais l’un comme l’autre me tue ; tu m’as dit qu’ils s’étaient enfuis vers ce bois et me voici aux abois de ce bois, cherchant vainement ma Lusiana. Va-t’en, décampe et cesse de me suivre.
Kiara : C’est vous qui m’attirez, aimant au cœur dur ; et pourtant, -que parlez vous d’activer votre sabre-laser pour me tuer ? mon cœur est franc comme l’acier : que cesse votre pouvoir d’attraction et je n’aurai plus le pouvoir de vous suivre.
Qui-Gon : N’allume pas trop la haine que je te porte : rien que de te voir, ça me fait mal qu cœur.
Kiara : Et moi, ça me fait mal au cœur de ne pas vous voir.
Qui-Gon : Je vais m’enfuir loin de toi et me cacher dans les fourrés et t’abandonnant à la merci des banthas et des rancors.
Kiara : la bête la plus féroce n’a pas un cœur comme le votre. Partez quand vous voudrez, la légende sera renversée : Apollon poursuivit par Daphné ; le mynock poursuivit par le rancor, le gungan inoffensif s’élance sur le wookie. Course vaine que celle où la lâcheté poursuit le courage qui se sauve.
Qui-Gon : laisse-moi partir, et si tu me suis, sois sûre que je te ferais outrage dans ce bois.
A ces mots, il partit et la donzelle le suivit. Yoda dit alors:
Yoda : Au revoir demoiselle Jedi ; avant que ce bosquet il ait quitté, c’est toi qui le fuiras et lui qui ton amour recherchera.
Le vieux maître appela alors une toute jeune youngling auprès de lui.
Yoda : Petite Ithil, me rendre un service peux-tu ? il y a dans ce bosquet une charmante fille de l’Ordre d’un semblable qui la dédaigne s’est éprise ; ce geste « avé les mains » devant ses yeux pendant son sommeil fais et que le plus proche objet qui tombe sous son regard soit cette jeune femme arrange-toi. A sa tunique Jedi l’homme tu reconnaîtra ; aie bien soin qu’il devienne plus amoureux d’elle qu’elle ne l’ait de lui ; et me retrouver ici avant le 1er chant du mynock viens.
Ithil : soyez tranquille, Maître, j’y pourvoirai.
La petite fille partit donc à le recherche à la recherche d’un Jedi. Elle en trouva un endormit, non loin d’une jeune femme.
Ithil : J’ai couru la forêt en vain
Sans rencontrer un Jedi
Sur les yeux de qui éprouver
L’Amoureux pouvoir de mon geste.
Nuit silence... mais je le tiens !
Il porte une tunique de Jedi
C’est lui qui envoya paître
Cette donzelle Jedi, dit mon maître.
Et la voici dormant profond
Dans cette herbe, tout du long
Ame jolie qui ne voulut
S’allonger près d’un malotru.
Elle fit le geste « avé les mains » devant les yeux clos du jeune homme.
Ithil : eh bien, rustaud, sur tes deux yeux
J’étale un charme impérieux
Et que l’amour à ton réveil
De tes yeux chasse le sommeil
Et, moi partie, réveille-toi.
Je rejoins maître Yoda.