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Par Ithil Dooku of Endor

II


La jeune enfant partie (quel vocabulaire cette petite ! si jeune et déjà si instruite, de la graine de génie … rho faut bien se lancer des fleurs de temps en temps)arriva Qui-gon, Kiara lui courant toujours après. Qui-gon lui invectiva encore une fois de le laisser en paix et piqua un sprint à faire palir Michael Lewis de jalousie, de telle sorte que la jeune femme n’en put plus et dût se reposer quelques instants. Kiara vit alors Mace endormit et de peur qu’il n’ai été tué par Qui-gon, le réveilla. Mace fut alors envouté par Kiara, éprouvant un amour sans faille pour la Jedi, jetant aux oubliettes Lusiana qu’il laissa dormir dans son coin, pour poursuivre Kiara.

Mace : Je me jetterais au feu pour l’amour de toi, ma douce, ma transparente Kiara. La nature a l’art de me faire découvrir ton cœur à travers ton sein. Où est Qui-gon ? ah, que ce vilain nom est bien fait pour périr sous mon sabre-laser.
Kiara : Ne dis pas cela, Mace, ne dis pas cela. Qu’importe qu’il aime ta Lusiana ? qu’importe par la Force, puisque Lusiana t’aime toujours ; sois donc content.
Mace : Moi, me contenter de Lusiana ! Jamais ! Comme je regrette les heures d’ennuis passées auprès d’elle.

A ces mots, Kiara s’en fuit et Mace lui courut après, à la manière de « Pépé le putois ». Lusiana s’éveilla et ne trouva pas son chauve bien-aimé auprès d’elle, elle partit donc à sa recherche dans le noir à travers les bois, morte d’inquiétude, rejouant Psycho dans sa tête.
Pendant ce temps, Ithil avait rejoint Yoda :

Yoda : Le geste « avé les mains » aux yeux du damoiseau Jedi as-tu fait, comme chargé je t’en avais ?
Ithil : C’est une affaire réglée : je l’ai surpris dans son sommeil, la donzelle Jedi à son côté, en sorte qu’il devra forcément la voir à son réveil.

A ces mots parurent Lusiana et Qui-gon. Qui-gon toujours plein d’amour pour Lusiana.

Yoda : ne bouges pas ; notre Jedi voici. Ithil : C’est bien la femme mais point l’homme.

Lusiana accusait en bon termes corréliens Qui-gon d’avoir tué Mace pendant son sommeil. Le maître Jedi essayait de la convaincre qu’il n’avait rien fait, pour le moment, mais la demoiselle ne le crut pas et s’en fut à la recherche de son imberbe amant.

Qui-Gon : A quoi bon la suivre dans cette humeur furieuse ? Je vais rester ici un moment ; le poids du chagrin s’alourdit de la dette que le sommeil en banqueroute ne lui a pas payée ; si j’attends un moment ici ses offres, peut-être va-t-il me donner un léger acompte.

Qui-gon s’étendit alors et s’endormit.

Yoda : Qu’as tu fait ? complètement trompée tu t’es : fais le geste d’amour « avé les mains » sur un amant loyal tu as ; et d’égarer un cœur fidèle au lieu de guérir un inconstant, l’infaillible résultat de ta méprise est. Par les bois plus vite que le vent cours et Kiara retrouve-moi ; le mal d’amour elle a, quelque artifice trouve pour l’amener ici ; au moment où elle paraîtra, celui je charmerais. Ithil : je pars je pars, plus vite qu’un pod de course appartenant aux Hutts.

Ithil partie, Yoda fit le geste « avé les mains » sur Qui-gon endormit.

Ithil : Maître des younglings
Voici Kiara qui s’en vient
Et le Jedi de ma méprise
La déclare de bonne prise.
Allons-nous voir leurs cœurs en fête ?
Par la Force ! que les adultes sont bêtes !

Arrivèrent alors Kiara et Mace, le maître faisant la cour à le donzelle. Qui-gon se réveilla aux bruits des mots échangés et vit Kiara.

Qui-Gon : O Kiara, déesse, Twi’leck, parfaite, divine ! a quoi pourrais-je compara tes yeux, mon amour ? le cristal n’est que de la fiente de bantha. Comme elles sont mûres et tentantes tes lèvres, ces deux cerises amoureuses l’une de l’autre ! Ah, Laissez-moi déposez un baiser sur la souveraine douceur virginale de votre visage !
Kiara : O rage, ô douleur ! Je vois que vous vous êtes tous concertés pour vous jouer de moi. Si vous étiez honnêtes et courtois, vous ne me feriez pas un tel affront. Vous êtes tous deux rivaux par amour pour Lusiana et vous rivalisez maintenant pour vous moquer de Kiara : joli exploit héroïque entreprise digne d’un Jedi de faire venir les larmes aux yeux d’une pauvre femme, avec vos raillerie !
Mace : Ne soyez pas méchant Qui-gon : vous savez bien que je sais que vous aimez Lusiana ; et ici même, avec la meilleure volonté, de tout mon cœur, je vous cède tous mes droits à l’amour de Lusiana tandis que vous me léguerez tous ceux que vous avez sur Kiara, que j’aime et que j’aimerais jusqu’à ma mort.
Qui-Gon : Garde ta Lusiana, Mace ; je n’en veux pas. Si je l’ai jamais aimée, mon amour s’est envolé. Mon cœur a voyagé vers elle comme en mission diplomatique, mais il est maintenant de retour à la maison, chez Kiara, pour y rester.
Mace : ce n’est pas vrai Kiara, écoute ton Maître.
Qui-Gon : ne calomnie pas un foi que tu ignores ou bien tu risques de le payer cher. Regarde, voici venir ton amour ; c’est elle, ta bien-aimée.

Lusiana s’approchait en effet, et voyant Mace, lui sauta au cou.