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Par Ithil Dooku of Endor

III


Lusiana : La nuit noire m’a privée de la vue, mais la Force est avec moi et grâce à elle je t’ai retrouvée. Mace, pourquoi m’as-tu quitté si méchamment ?

Mace en se détournant avec son air le plus froid, lui dit.

Mace : pourquoi serait-il resté, celui que l’amour pressait de partir ?
Lusiana : quel amour pourrait presser Mace de s’éloigner de moi ?
Mace : L’amour de Mace qui ne lui permettait pas d’attendre… Belle Kiara ! qui rends la nuit plus dorée que ne le font toutes les étoiles de la galaxie ! Pourquoi me cherches-tu ? Ne pouvais-tu comprendre que c’est la haine que je te porte qui m’a fait te quitter ainsi ?
Lusiana : c’est impossible ! Vous ne pensez pas ce que vous dites.
Kiara : Voyez, elle aussi est du complot. Je vois bien maintenant qu’ils se sont mis tous trois d’accord pour jouer à mes dépends cette comédie perfide. Après tous ces serments, tous ces secrets que nous avons partagés, tout cela est-il oublié ? tu voudrais briser cette vieille amitié, cette fraternité, en te joignant à ces hommes pour narguer ta pauvre sœur ?
Lusiana : Vos paroles me confondent. Je ne vous raille pas, c’est plutôt vous qui avez l’air de me railler.
Kiara : N’avez-vous pas par moquerie entraîné Mace à me poursuivre et à venter mes yeux et mon visage ? Et engagé Qui-gon votre autre soupirant (qui, encore tout à l’heure me repoussait du bout de la botte !) à m’appeler déesse, Twi’leck, divine et rare, précieuse et céleste ? Pourquoi dit-il cela à celle qu’il déteste ? Et pourquoi Mace rejette-t-il ton amour (qui pèse si lourd dans son cœur) pour m’offrir sa tendresse (par exemple !), si ce n’est pas vous qui l’y poussez ? S’il a votre approbation ? Et si je ne suis pas aussi favorisée que vous, aussi heureuse et pavoisée d’amour (mais au contraire si j’ai le malheur d’aimer sans retour), vous devriez me plaindre et non me mépriser.
Lusiana : je ne comprends pas ce que vous voulez dire.
Kiara : Oui c’est cela continuez ; prenez votre mine navrée et faites-moi des grimaces dans le dos et des clins d’œil. Si vous aviez un peu de pitié, de délicatesse ou seulement de civilité, vous ne me feriez pas jouer cette farce. Mais adieu, tout cela est un peu de ma faute ; la mort ou l’absence y remédieront promptement.
Mace : reste, douce Kiara ; entends ma défense. Ma belle Kiara, mon amour, ma vie, mon âme !
Kiara : Ah, c’est parfait.
Lusiana : Ne te moques pas d’elle ainsi, mon chéri.
Qui-Gon : si elle ne peut te fléchir par ses prières, moi je peux t’y contraindre.
Mace : Tu ne peux pas plus me contraindre qu’elle ne peux me fléchir ; tes menaces n’ont pas plus de force (pas Force, force, enfin voilà) que ses faibles prières. Je t’aime Kiara, sur ma vie je t’aime. Sur cette vie que je donnerais pour toi, je te jure de prouver qu’il ment, celui qui dit que je ne t’aime pas.
Qui-Gon : Je te dis que je t’aime plus qu’il ne saurait.
Mace : Si tu le dis, suis-moi et prouve-le !
Qui-Gon : vite, allons.

En tentant de l’arrêter Lusiana demanda.

Lusiana : Mace, à quoi rime tout ceci ?
Mace : Arrière, toi, Gamorréenne !
Qui-Gon : Fais semblant de te dégager, fais comme si tu allais me suivre, mais tu ne viendras pas. Va-t’en, tu n’es qu’un lâche !
Mace : Cesse donc de m’agripper, scurrier, teigne ! Lâche prise, sale bête ou je m’en vais te jeter loin de moi comme un serpent.
Lusiana : Pourquoi êtes-vous si grossier, quel est ce changement, mon tendre amour ?

Lusiana le retenait de nouveau. Mace n’en pouvant plus lui dit.

Mace : Moi ton amour ? Va-t’en, Bantha, Hutt, va-t’en ! Au coté obscure, médecine répugnante, au coté obscure, vomitif dégoûtant !
Lusiana : Vous ne plaisantez-pas ?
Kiara : oui bien sûr et vous aussi.
Mace : Qui-gon, je tiendrai parole.
Qui-Gon : Je voudrais un holo de votre main, car je vois bien qu’une faible main suffit à vous retenir. Je ne crois pas en votre parole.
Mace : Eh quoi, tu voudrais que je la blesse, que je la batte, que je la tue ? Bien que je la haïsse, je ne puis lui faire du mal.