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Par Lusiana Windu


Chapitre 3

« Un jour de 1977, j’ai vu un film nommé Starwars, la Guerre des Etoiles. J’étais une petite fille de dix ans. Les trois premiers films racontaient comment un petit groupe de rebelles se battait à un contre cent pour sauver la galaxie, cette galaxie, celle dans laquelle vous vivez, de la tyrannie d’un Empereur Sith. Ces films sont devenus carrément cultissimes pour toute une génération d’enfants, d’adolescents et de jeunes adultes à partir de sa sortie. C’était un phénomène mondial. Mondial va sans doute vous faire sourire, parce que vous êtes habitués aux voyages hyperspatiaux et à vous rendre d’un système stellaire à un autre. Mais sur Terre, nous ne connaissons pas la vitesse lumière. Le premier pas d’un humain sur une autre planète n’avait eu lieu que huit ans avant la sortie du premier film de cette saga. Et encore, ce n’était pas vraiment une planète. Il s’agissait de la Lune, le satellite naturel de la Terre. Donc vous voyez, les terriens ne s’étaient pas encore aventurés bien loin dans l’espace. Bref, ces trois premiers films sont devenus un mythe. Un peu plus de vingt ans après la sortie de la Guerre des Etoiles, le réalisateur a commencé à sortir une nouvelle série de trois films racontant toute ce qui s’était passé avant sa première histoire, ce qui avait amené des peuples à se rebeller, et surtout ce qui avait amené le méchant, Dark Vador à devenir justement Dark Vador. Car au départ, il était plutôt sympa. C’était un gamin généreux avec une bonne bouille, espiègle, et vif d’esprit. Et c’est là que ça devient intéressant et que ça vous concerne. Dans la première série, ce qui est appelé la Trilogie, on vous voit Maître Yoda. C’est vous qui formez le dernier Jedi, celui qui va ramener son père du bon coté de la Force… » Et je continuais à raconter la saga. Je racontais tout, Luke, Leia, Obi-Wan, Tatooine, Jabba, Maître Yoda, Qui-Gon et Jar-Jar, Mace à coté de la plaque à propos de la résurgence de la Sith. Je racontais Naboo, et surtout Geonosis et l’Ordre 66.
« _et tu dis que cette histoire, c’était des films et des livres ?
_Oui, et une palanquée de bouquins. Crois-moi pour en faire le tour il fallait s’accrocher.
_Mais toi dans tout ça ? Lusiana n’apparaît pas dans ce que tu nous as raconté. Et puis d’ailleurs, Obi-Wan n’a que seize ans. Il n’est pas encore chevalier. Dooku est un grand maître Jedi. Quant au Sénateur Palpatine, il est l’un des plus honnête de cette législature. S’il était un Sith, nous le sentirions.
_Ouai, alors un conseil, mon très cher époux : reconsidère tes instincts à ce niveau là. » Mace se redressa, offusqué. « Ne le prends pas mal, voyons. Tout le monde a le droit de se planter.
_ Comment dois-je le prendre dans ce cas ?
_Laisse-moi poursuivre. Tu vas comprendre.
_Je ne vois pas ce qu’il y a d’autre à comprendre que le fait que tu aies rêvé des choses qui n’ont aucun sens. Ce n’est qu’un rêve. Il n’y a rien d’autre à spéculer. » Répliqua-t-il sèchement.
« _Alors explique-moi pourquoi je me suis retrouvée dans le coma, et pourquoi tout ce que j’ai soit disant rêvé est si vif dans mon esprit, pourquoi je me sens à coté de mon sabre, et pourquoi j’ai l’impression que c’est ici le rêve, Monsieur-le-grand-maître-la-Force-me-fait-tout-comprendre-avec-clairevoyance !
_Je ne sais pas tout. Et je n’ai jamais prétendu tout savoir. Je t’inter…
_Assez ! » Gronda Yoda. « Maître Lusiana, ton histoire continue, je te prie. »
L’amorce de dispute s’étouffa comme par enchantement lorsque Maître Yoda éleva la voix.
Je grimaçais un sourire ironique à l’intention de Mace qui leva les yeux au ciel en secouant la tête complètement d’un air navré.
Je réfléchis un instant. Tout se bousculait dans ma tête.
Et si Mace avait raison ? Et si tout cela n’était qu’un rêve insensé, y compris l’histoire de ces films ? Et si ce n’était simplement qu’un délire absurde de mon cerveau durant ce traumatisme comateux ?
Il y avait un moyen de le savoir.
« _Ecoutez… » Je m’arrêtais encore avant de poursuivre. Oui. C’était la solution. Si ça, c’était vrai, alors il n’y avait aucune raison pour que le reste ne le soit pas. Si ce que j’avais vécu durant mon coma avait un sens, pour le découvrir, je devais démontrer qu’il y avait un fondement à mes allégations. « Qu’on fasse une comparaison de mon ADN à celui du Comte… pardon, de Maître Dooku.
_Quoi ? » S’écria Mace.
« _Dooku est mon géniteur. » Déclarais-je sans ambages. Yoda fit une grimace soucieuse. « C’est simple. Je suis persuadée que la Force m’a fait entrevoir des événements de l’avenir, ce qui risque de se produire si l’Ordre Jedi et la République ne se remettent pas sérieusement en question. Obi-Wan n’a que 16 ans. Et ce que j’ai entrevu se déroule lorsqu’il devient chevalier, à vingt-cinq ans. On ne peut pas dire qu’il soit très précoce, mais bon. L’essentiel c’est qu’il le devienne. Des livres parlaient de son enfance. Mais il n’y avait rien de très important pour ce qui va bouleverser l’histoire de la galaxie.
_Mais Lusiana, Obi-Wan n’est qu’un padawan parmi une foule d’autre. Et il n’y a pas de roman publié racontant sa vie.
_Ici non. Dans mon coma oui. » Repose-pied. « Tout ce que j’ai vécu durant mon sommeil, je le tiens pour avoir été ma vraie vie, du moins, je le vivais comme tel. On est d’accord ?
_On est d’accord. » Acquiesça Mace.
« Bien. Donc, tout ce qui est en réalité ma vie, lorsque j’étais dans le coma, je pensais que c’était une histoire de fiction, bref de l’imagination. On est toujours d’accord ?
_Jusque là, je te suis.
_Lorsque j’étais dans mon autre vie, à partir des romans que je lisais, et des films que j’allais voir au cinéma, ma sœur et moi avions imaginé que nous étions les filles de Dooku, Dooku qui n’apparaissait dans l’histoire qu’une fois avoir claqué la porte de l’Ordre après la mort de Qui-Gon, et qui s’était allié à Dark Sidious, alias Palpatine, sénateur puis chancelier de son état, mais véritable ordure Sith.
_Pffff ! N’importe quoi !
_N’importe quoi, quoi ? Que Dooku soit mon père ou que Palpy soit un Seigneur Sith ?
_Palpy ?
_Palpatine ! Fais un effort, un peu !
_Mais je ne fais que ça ! C’est toi qui me navres de prêter un seul crédit à ces élucubrations comateuses ! Je te pensais plus…
_Plus quoi ? Dis tout de suite que je suis siphonnée tant que tu y es !
_Ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit !
_Mais tu le penses !
_Non ! Ah ! Qu’est ce que j’étais tranquille quand tu dormais !
_Mais je peux m’en aller si ça peut te faire plaisir ! Ben tiens ! C’est justement ce que je vais faire ! Punaise ! Deux maris ! Pas un pour rattraper l’autre. Aussi casse-noix l’un que l’autre ! »
Je m’étais levée, et je m’apprêtais à quitter la salle de réfectoire. Tout le monde avait les yeux braqués sur nous. Il était rarissime qu’on élève la voix au Temple encore moins en publique et de cette manière.
« _ça suffit ! » A nouveau Maître Yoda gronda. « Des maîtres vous êtes. Et pire que des padawan vous vous comportez ! De reformes, tu parlais, Maître Lusiana. Votre comportement à tous les deux, reformer vous devriez commencer ! Maître Lusiana, assied toi. La comparaison des deux ADN, facile à faire, cela est. Et rien, cette vérification ne coûte.
_Merci, Maître. Si mon ADN correspond bien, cela voudra donc dire que ce que j’ai appris de mes origines dans mon autre vie est vrai. Donc, à partir de là, on peut penser que le reste pourrait l’être aussi. Lorsque j’ai commencé à écrire mon histoire, cette vie que je me rêvais en ignorant qu’elle était la réelle, Kiara le faisait aussi de son coté. Nous ne nous connaissions pas à cette époque là. Et ce qui nous a troublé c’est lorsque nous avons comparé ce que nous écrivions lorsque nous nous sommes rencontrées. Il y avait tant de similitudes. J’avais écrit à propos d’une sœur qui s’appelait comme elle, alors que ces prénoms, nous ne faisions que les imaginer. Kiara et Lusiana n’étaient que des personnages de romans pour nous. Et il y avait une telle complicité. Nous ne comptions plus les cas de télépathie. Il nous arrivait tellement souvent de dire la même chose au même moment. C’était incroyable. Nous n’étions pas sœur. Mais nous étions si proches que nos personnages sont devenus de vraies sœurs tout naturellement. Et nous même nous considérions comme deux sœurs. C’était évident. À défaut d’être sœur de sang, nous l’étions de cœur. Et c’était ce qui était le plus important.
_Et le rapport avec Dooku ?
_Nous avons imaginé cette filiation comme une sorte d’évidence. Alors pourquoi pas ? Comparez mon ADN. Si ça concorde, ça voudra dire que Kiara est bien ma sœur. Et dans ce cas… » Je m’arrêtais brusquement, pale comme un linge. « Quel age à Obi-Wan ? » Demandais-je alors.
« _Mais enfin…
_Mace, arrête de me gonfler. Je suis complètement déconnectée. Tu peux le piger, ça non ?
_Il a seize ans.
_Seize ans… oui, c’est vrai. Tu me l’as dit toute à l’heure… seize ans, donc neuf ans avant les événements de Naboo. Donc… Donc… » J’étais soudain horrifiée. « Il faut que je parte pour Naboo tout de suite. On peut peut-être empêcher Maul d’enlever Kiara.
_Mais qui est Kiara ? » Me demanda-t-il encore en me rattrapant.
« _C’est ma sœur. Elle était ma meilleure amie dans cette autre vie que j’ai eue durant mon coma. Nous nous sommes retrouvées grâce à cette passion que nous avions pour l’histoire que nous croyions imaginaire. Et… et… » Je me rassis brusquement, atterrée. « Et nous étions ensemble lorsque ce rêve a pris fin, et que je me suis réveillée à l’infirmerie. Dans ce rêve… nous traversions un pont, enfin, plutôt une passerelle, la passerelle Solferino, juste en face du musée d’Orsay à Paris. Oui, bon ! Paris et le musée d’Orsay ne te disent rien du tout. Dommage, parce que Paris est une ville formidable. Bref. Durant cette autre vie, j’ai toujours eu peur des ponts. J’avais toujours peur qu’il ne s’effondre sous mes pas. J’étais prise de vertiges et de malaises. Et donc, nous sortions de ce musée. Kiara était avec moi. Et j’ai voulu surpasser cette phobie. Donc nous nous y sommes engagée. Elle était avec son fils cadet que nous surnommions Minisith a cause de son caractère buté et bougon. Et… et le pont s’est écroulé. Et je me suis retrouvée allongée avec une face de boite de conserve qui me regardais et toi à coté. Voilà. Mais ce n’est pas ça le plus important. Le plus important c’est que quelque chose de fort nous liait Kiara et moi, alors que nous pensions n’être que deux amies.
_Mais tu ne sais même pas si elle existe dans notre monde, je veux dire… en réalité. » Protesta Mace.
« _Maître Yoda, je vous en prie. Laissez moi poursuivre mon idée. Je suis certaine que ce rêve a un sens. Et je dois le découvrir. Permettez moi d’aller à Naboo.
_Humm. » Soupira le vieux maître. « Beaucoup d’interrogation, ce rêve pose en effet. Ton instinct tu veux suivre, Maître Lusiana. Insensé cela peut paraître. Mais, à te connaître j’ai appris. A te faire confiance, aussi.
_Nous devrions nous renseigner sur cette femme avant. » Rétorqua Mace. « Plutôt que de partir pour Naboo, comme ça, à l’aveuglette, nous devrions faire des recherches.
_Et perdre du temps. Et puis, nous ne partons pas à l’aveuglette. Il me semble que la Force est notre meilleure alliée, et qu’elle nous permet une certaine clairvoyance…
_A condition de ne pas nous laisser emporter par nos sentiments » Me coupa le maître.
_Huumm ! Il me semble pourtant que tu ne disais pas la même chose sur Endor. Et que la Force nous a permis de voir et sentir bien plus de chose justement parce que nous nous sommes laissés emporter par nos sentiments.
_ça n’a rien à voir !
_Vraiment !
_Lusiana !
_Je commence à regretter Manu. Lui au moins il avait le sens de l’humour.
_Qu’est ce que je dois comprendre ?
_Que parfois tu ferais bien de te dérider un peu. » Je me tournais à nouveau vers Yoda. « Je crois que je ne devrais pas partir seule pour Naboo, Maître. Si Dark Maul est dans le coin, je crains de ne pas pouvoir l’affronter seule. Qui pourrait m’accompagner ?
_Parce que tu t’imagines sans doute que je vais te laisser partir seule ?
_Je croyais que ce n’était que des élucubrations sans queue ni tête ?
_C’est justement pour ça que je pars avec toi.
_Je vois que la confiance règne. Bon, et bien puisque je n’ai pas le choix, je vais aller préparer le vaisseau. Pendant ce temps-là, passe par l’appartement pour prendre quelques affaires. Et recherche Kiara Wells, docteur en génétique sur Naboo. Tu verras bien que je ne dis pas n’importe quoi. Maître Yoda, je vous enverrais des nouvelles dès que nous aurons trouvé Kiara.
_Que la Force t’accompagne, Maître Lusiana. »
Je m’inclinais devant le maître vert.
D’un pas vif et alerte, presque courant, je sortis de la cafeteria. Yoda ! J’avais parlé au vrai Yoda. Pas à une marionnette de latex animée par le magicien Oz. Le vrai Yoda existait bel et bien. Et il était tel que dans mon reve. En plus, il semblait bien m’aimer, tout comme je l’avais imaginé dans les histoires que j’écrivais avec Sylviane/Kiara. Trop fort !

J’arrivais bientôt aux hangars du Temple. Comment est ce que je m’étais dirigée ? Je n’en savais rien. Mais en tout cas, j’avais trouvé mon chemin comme si j’avais toujours vécu là. Il fallait que je réalise que j’avais vraiment vécu là toute ma vie, ou presque.
En entrant sur l’aire d’appontage, je bousculais Qui-Gon. Tiens ? J’avais déjà vécu ça. Mais j’étais plus petite.
« _Décidément, c’est une habitude de me bousculer lorsque nous nous rencontrons. » S’amusa-t-il.
« _C’est que… je… salut… que… Wouaw ! » Je devais avoir l’air complètement stupide. Qui-Gon me regarda surpris. Je le dévisageais des pieds à la tête. Wouaw ! Quelle allure !
« _Lusie ? Tu vas bien ?
_Hein ? Ah oui ! Oui, je vais bien. Merci. Et vous ? Pardon et toi ?
_Je vais bien aussi. Mais c’est plutôt toi qui m’inquiète. On dirait que tu as vu un fantôme.
_Tu ne crois pas si bien dire…
_Quoi ?
_Non. Rien. Ne fais pas attention. C’est quand même dingue les yeux bleus que tu as !
_Lusie, tu es sure que tout va bien ?
_Oui, oui. Pas de problème. » J’aperçus alors Obi-Wan qui venait de rejoindre son maître. « Toi, arrête de faire ta tête de mule. Et écoute d’avantage ton père.
_Mais qu’est ce qu’elle raconte ? » Demanda alors Qui-Gon à Mace qui arrivait son tour.
« _Je n’en sais rien. Elle est comme ça depuis qu’elle est sortie du coma. » Répondit mon époux.
« _Vous partiez en mission ?
_Oui. Sur Naboo.
_Naboo ? Je ne connais pas. » Répondit mon ancien maître.
« _Crois-moi, si nous ne retrouvons pas Kiara avant le Tatoué, tu risques de bien connaître Naboo, même plus que tu ne le souhaiterais. » Rétorquais-je.
Les trois hommes me regardèrent intriguée.
« _Ne cherche pas à comprendre Qui-Gon.
_Au fait, vous tombez bien, tous les deux. J’aurais besoin d’aide. Qui-Gon autoriserais-tu Obi-Wan à nous accompagner sur Naboo ?
_Mais… oui, si tu penses que… bien que…
_Dans l’état où elle est, mieux vaut ne pas la contrarier.
_Obi-Wan, suis moi. Nous devons préparer le vaisseau. A bientôt Qui-Gon. » Et je le plantais là. Mon fils hésita, puis fini par m’emboîter le pas.
« _Elle est vraiment très étrange. Qu’est ce qu’il lui arrive ?
_Je n’en sais rien. Mais je vais avec eux. Je crois que tu devrais venir aussi. J’ai peur que ça se gâte. Tu connais son chic à se fourrer dans le pétrin.
_D’accord. Allons-y. »

Alors que j’en terminais avec la check-list d’avant le départ, j’entendis la porte du cockpit du Reine de Hapes coulisser.
« _Ah. Je vois que la confiance règne vraiment. » Persiflais-je en voyant Qui-Gon. « Si vous essayez de m’emp…
_Je viens aussi. » Me coupa Qui-Gon.
« _Hors de question ! » Protestais-je. « Si Maulus-les-beaux-chicots est dans le coin, je n’ai pas envie que Obi-Wan perde son maître avant d’être chevalier.
_J’en avais presque oublié à quel point tu pouvais être entêtée. Tu es pire qu’Obi-Wan quand il s’y met.
_Parle pour toi. Et puis, les rancors ne font pas des banthas.
_J’ai peur de ne pas comprendre… » Commença l’adolescent.
« _Je suppose que mes protestations ne serviront à rien. » Continuais-je sans m’en préoccuper.
« _Absolument. » Répondit Mace.
« _Bon et bien, dans ce cas, allez vous installer. Nous allons décoller.
» Décoller… oui. A condition que je sache comment faire. J’étais sensée savoir piloter. Mais dans quel recoin de mon cerveau avais-je ranger les cases pilotage ? La Force était capable de nous faire faire des miracles. Et bien ayons confiance en la Force. Apres tout, j’étais Jedi. Donc je devais avoir foi en elle.
« _Prêt ? » Demandais-je à Obi-Wan plus pour faire semblant d’etre sure de moi.
« _Prêt. » Me répondit mon fils.

Le vaisseau se mit à vrombir. Puis je le sentis s’élever au dessus du sol, avant de bondir en avant pour s’envoler dans le ciel de Coruscant.
Alors je savais vraiment piloter ? Quel pied !
Quelques minutes plus tard, après quelques idioties de mon cru entre les files de circulation coruscanties, nous quittions l’atmosphère de la capitale avant de plonger en hyperespace, direction chez ma sister.